Quand Paris souffle dans le ballon
Typiquement un sujet pour lequel j'hésite entre ce blog et celui de B.O.P.E…
Il y a quelques semaines, en passant sur les quais, à Paris, en revenant je ne sais plus d'où (je passe rarement par là, pourtant, à part en rentrant de Roland-Garros et je n'y suis pas allée cette année), j'ai remarqué, sans y faire plus attention, que le ballon captif du parc André-Citroën avait changé. “Tiens, ils ont changé le ballon”, ai-je dit finement. J'ai très envie de monter un jour dans ce ballon mais MyLove a le vertige. À la rentrée, j'emmènerai MyLittleLove…
Bref, le ballon a changé. Et c'est grâce à Inhabitat que je sais pourquoi. Le nouveau Ballon Air de Paris change de couleur selon que l'air est pollué ou non. C'est pas beau, ça? En partenariat avec Airparif, le ballon prend régulièrement le pouls de l'air dans six “stations urbaines” — dans les 1er, 6e, 7e, 12e, 13e et 18e —, avec des projecteurs, et cinq “stations trafic” — sur les Champs, à St-Germain, aubord du Périph', quai des Célestins et place Victor-Basch — grâce à un rayon laser (évidemment, j'adore), et traduit ces informations toutes les heures en changeant de couleur, du vert au rouge bien sûr.
Tout cela est très bien expliqué sur le site du Ballon Air de Paris, qui décrit les principaux polluants dont souffre la capitale française, leurs effets sur la population et l'environnement, et aussi le fonctionnement du ballon, qui est à la fois le plus grand ballon captif du monde et l'aéronef le moins polluant du monde (oui, on aime bien être les meilleurs, en France). Rien que pour ça j'ai envie de remonter à Paris jeter un œil!
[Aparté: Tiens, ça me rappelle mon Nabaztag, qui lui aussi me tient au courant de la pollution avec des couleurs.]
Il y a quelques semaines, en passant sur les quais, à Paris, en revenant je ne sais plus d'où (je passe rarement par là, pourtant, à part en rentrant de Roland-Garros et je n'y suis pas allée cette année), j'ai remarqué, sans y faire plus attention, que le ballon captif du parc André-Citroën avait changé. “Tiens, ils ont changé le ballon”, ai-je dit finement. J'ai très envie de monter un jour dans ce ballon mais MyLove a le vertige. À la rentrée, j'emmènerai MyLittleLove…
Bref, le ballon a changé. Et c'est grâce à Inhabitat que je sais pourquoi. Le nouveau Ballon Air de Paris change de couleur selon que l'air est pollué ou non. C'est pas beau, ça? En partenariat avec Airparif, le ballon prend régulièrement le pouls de l'air dans six “stations urbaines” — dans les 1er, 6e, 7e, 12e, 13e et 18e —, avec des projecteurs, et cinq “stations trafic” — sur les Champs, à St-Germain, aubord du Périph', quai des Célestins et place Victor-Basch — grâce à un rayon laser (évidemment, j'adore), et traduit ces informations toutes les heures en changeant de couleur, du vert au rouge bien sûr.
Tout cela est très bien expliqué sur le site du Ballon Air de Paris, qui décrit les principaux polluants dont souffre la capitale française, leurs effets sur la population et l'environnement, et aussi le fonctionnement du ballon, qui est à la fois le plus grand ballon captif du monde et l'aéronef le moins polluant du monde (oui, on aime bien être les meilleurs, en France). Rien que pour ça j'ai envie de remonter à Paris jeter un œil!
[Aparté: Tiens, ça me rappelle mon Nabaztag, qui lui aussi me tient au courant de la pollution avec des couleurs.]
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